9.2.08

Haïku? Senryū?

Ché pas. Un peu des deux. Mais ce type, Stéphane Ranger, m'a rappelé sans le savoir que j'ai pas lu de poésie de mec depuis trop longtemps, et que ça fait du bien, au point de me redonner le goût d'en écrire. Je le cite ici sans vergogne:

Elle te lèche sans laisser de traces,
réprime un rapport, puis
en veut encore.


***

Googlant pour combler tant soit peu mon (au fond) abyssale ignorance des genres littéraires évoqués dans l'en-tête, je suis tombé sur le site de André Cayrel, et ce charmant spécimen de 5-7-5:

jupe volante
l’air de rien derrière elle
le Mistral et moi

2 commentaires:

Danger Ranger a dit...

Hey, merci, je suis honoré!
Si ça vous intéresse, mes éditeurs (Ta Mère) préparent un ouvrage collectif (Le Livre noir de Ta Mère) dans lequel je contribue un texte où vous apparaissez. Je le publie pour une journée sur mon MySpace, accessible à partir de mon blogue, sous le titre LLLDTM, le temps de vous laisser y jeter un coup d'oeil...

Mistral a dit...

Héhé, ça torche!

Bonne chance.